Plasticité neuronale ou neuroplasticité décrivent la capacité du cerveau à se modifier en créant, modifiant, réorganisant des connexions neuronales, depuis la phase embryonnaire et jusqu’à un âge avancé.
La plasticité d’un matériau est sa capacité à modifier sa forme sous l’effet d’une action et de conserver cette forme après que l’action ait cessé. Ce qui est le contraire de l’élasticité, qui la propriété d’un matériau qui reprend sa forme initiale dès que l’action a cessé.
Nous allons citer deux exemples de plasticité : plasticité positives et plasticité négative. La plasticité positive est l’apport d’une qualité tandis que la plasticité négative est la perte d’une capacité.
Le développement du corps calleux, faisant le lien entre les deux hémisphères du cerveau, chez les pianistes virtuoses est un exemple de plasticité positive :
Développement du corps calleux des pianistes virtuoses :
Le corps calleux, qui assure la liaison entre les deux hémisphères cérébraux, est particulièrement sollicité par la pratique intensive du piano, qui exige une parfaite synchronisation des mouvements des deux mains.
Ainsi, le corps calleux d’un grand virtuose peut être de 20% plus développé que celui d’un individu ordinaire.
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Calcification de la glande pinéale :
La calcification de la glande pinéale ou troisième oeil, est un exemple de plasticité négative. Tout à la fois le plus banal et l’un des pires dans ses conséquences parce qu’elle fait disparaître les perceptions extrasensorielles.
La calcification de la glande pinéale apparait aussi au scanner comme un point blanc au centre du cerveau :
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Pureté et accroissement de la glande pinéale :
Nous sommes là au delà du point aveugle de la science, les seules sources disponibles sont les mystiques. Selon eux, à l’inverse de la situation de l’immense majorité des humains, la glande pinéale des personnes pratiquant de la méditation ou des états de conscience amplifiés serait pure de calcium, ses capacités magnétiques plus importantes.
La médium J. Z. Knight, transmettant un enseignement de l’esprit Ramtha, écrit :
« Lorsque des pensées à fréquences supérieures sont captées, la glande pinéale se met à enfler et vous pouvez avoir des maux de tête, des vertiges ou ressentir une grande légèreté dans la tête.
« Les pensées captées sont transformées en courant électrique à tension élevée et envoyées par le système nerveux central en chaque cellule du corps. »
« Vous sentez comme une poussée à travers le corps, des fourmillements ou une impression d’être soulevés de terre. » (1)
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La méditation transforme le cerveau :
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(1) Ramtha, par J.Z Knight Editions Astra (page 215)