Cette présentation vient compléter celle consacrée à la « Formation à la responsabilisation ».
La comparaison avec la société Better-Up a pour but d’éclairer sur l’intérêt de la « Formation à la responsabilisation ».
Better-up est une compagnie américaine qui a été créée en 2013 et a levé un total de 600 millions de $ de capital, dont 300 millions en 2021, par divers investisseurs tels que Wellington Management, Iconiq Growth and Lightspeed Venture Partners.
Sa valeur s’établirait à 4,7 milliards de $.
Elle se présente comme le leader mondial du coaching individuel et de groupe, en employant un réseau de 3000 coachs indépendants, issus de dizaines de pays et proposant du coaching en 46 langues dans 90 pays.
Better-up apparait comme une façade marketing, comme le montre l’engagement, certainement très couteux, du Prince Harry qui n’a aucune compétence en coaching.
Better-up promet un coaching personnalisé pouvant améliorer le comportement des individus, améliorer leur bien-être et leur efficacité au travail.
Le fait même qu’elle à recours à des milliers de coachs indépendants qu’elle n’a pas formés, démontre que ses formations :
1 – Ne peuvent être que limitées aux banalités dans la plupart des écoles de psychologie.
2 – Qu’elles ne sont pas standardisées, mais dépendantes des capacités des coachs et de l’accord particulier qui peut s’établir entre lui et le client.
Par ailleurs, le fait que les cours sont faits en ligne, rend impossibles certaines formations comme la pratique des états de conscience amplifiés.
Le marketing de Better-up regorge d’affirmation de résultats invérifiables :
Si Better-up exerçait dans un domaine technique où les résultats sont strictement quantifiés, son marketing ne pourrait dissimuler sa piètre efficacité.
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« Formation responsabilisation » contre Better-up
A la différence de la vacuité des propositions de Better-up, la « Formation responsabilisation » est fondée sur des éléments tangibles que nous résumons en 12 points.
Il s’agit d’acquis de la psychologie transpersonnelle, des neurosciences, sciences cognitives et surtout des expériences d’ultra conscience.
En les ignorant tous, Better-Up prive ses clients des progrès essentiels réalisés depuis un demi-siècle et se limite à affirmer une efficacité qu’elle revendique avec des chiffres non vérifiés.
Le seul « avantage » de Better-Up sur la « Formation à la responsabilisation » d’Ultrahuman est de ne pas déranger les convictions établies que sont :
L’illusion d’incarnation unique
L’illusion de hazard ou non-programmation
L’illusion d’impunité ou non conséquence des actes
Les 12 points essentiels
1 – Nous n’avons pas un, mais deux esprits ou logiciels de conscience :
Ceci est, par exemple, confirmé par une neuroscientifique américaine, le Dr Jill Bolte-Taylor qui découvrit cette réalité en subissant un AVC de l’hémisphère gauche :
Dans l’extrait de conférence suivant, elle résume l’acquis de son expérience :
Comme l’affirme le Dr Bolte-Taylor, nos deux hémisphères du cerveau sont en quelque sorte deux cerveaux qui fonctionnent différemment, pensent à des choses différentes et ont même deux personnalités différentes.
Avec mes propres expériences, j’ai résumé cette situation par le schéma suivant, montrant les différences entre l’hémisphère gauche et l’hémisphère droit et ce que l’on peut appeler nos deux logiciels de conscience : mental analytique et conscience synthétique :
Tant que l’on n’a pas fait d’expériences hors du corps et proches de la mort, on est convaincu que ce que nous appelons « notre esprit » est potentiellement capable de tout comprendre : Ce ne serait qu’une question de QI.
C’est faux, en revenant de l’au-delà, nous prenons conscience des limites suivantes de notre esprit ordinaire :
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2 – Le mental analytique est limité au fini :
Alors que la conscience synthétique vit dans l’infini, le mental est structurellement limité au fini. C’est-à-dire que pour lui tout doit avoir un début et une fin, dans l’espace et dans le temps.
Prendre conscience de cette limite est un nécessaire premier pas vers la découverte du logiciel de pensée supérieur, la conscience synthétique .
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3 – Plus de 95 % de l’univers nous sont inconnus :
Depuis la découverte de l’expansion de l’univers, il est apparu que l’Univers serait composé à plus de 95% d’énergie sombre et de matière noire. Ces expressions ne signifient pas qu’elles soient de cette couleur, mais qu’elles nous sont totalement inconnues.
Nous serions en quelque sorte immergés dans cette énergie-matière inconnue qui constitue aussi la dimension de l’au-dela et tout ce qui y existe.
Dans la vidéo suivante, une expérienceuse, Isabel, révèle avoir vu sa grand-mère décédée. C’est-à-dire que son regard a pénétré l’univers des 95%, dans lequel vivent nos proches décédés, que nous irons rejoindre un jour :
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4 – La conscience est faite d’énergie-matière :
Contrairement à ce qu’imagine la psychologie dominante, l’esprit ou conscience, n’est pas immatérielle mais faite de l’énergie-matière composant les 95% inconnus de l’univers.
L’antique tradition yoguique de l’Ashtanga Yoga décrit la conscience comme composée de Koshas représentés dans le schéma ci-dessous :
Les travaux du Dr John Eccles (Prix Nobel de médecine en 1963) confirment que notre cerveau n’est pas le producteur de la pensée, mais un simple transmetteur, tout comme un ordinateur ou un smartphone.
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5 – La pensée est faite d’énergie-matière :
Tout comme la conscience, nos pensées ne sont pas immatérielles mais composées d’énergie-matière qui peut être perçue dans certains états de conscience.
Le schéma suivant, montrant les auras issus du corps, donne une certaine idée de la réalité des pensées :
6 – Le mental analytique est linéaire et dualiste :
Alors que le mental analytique est linéaire et limité à la perception dualiste, « moi et les autres », ou, plus précisément « MOI d’abord et les autres ensuite », le synthétique se perçoit comme étant l’univers entier.
Derrière l’infinie diversité des apparences, l’univers ne constitue qu’une seule entité, qui pourrait être conçue comme un gigantesque ordinateur fractionné.
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7 – Nous n’avons pas une, mais de nombreuses incarnations :
Sortir de l’illusion d’incarnation unique est fondamental pour comprendre :
– Que nous sommes des êtres éternels ayant vécu des existences successives.
– Que notre présent est la suite et conséquence de nos existences passées, tout comme notre journée d’aujourd’hui est la suite et conséquence d’hier, d’avant-hier, etc…
– Que nos capacités et intelligence dépendent du nombre et de la qualité de nos incarnations passées.
– Que notre personnalité présente n’est qu’un rôle provisoire et que racisme et sexisme sont des absurdités.
8 – Le mental analytique est temporel
Le mental analytique est limité au temporel tandis que la conscience synthétique est atemporelle. Cette réalité ne se révèle que par l’expérience vécue.
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9 – Conscience synthétique et connaissance universelle :
Tandis que le mental analytique se trouve dans la connaissance limitée, la conscience synthétique est dans la connaissance universelle, ainsi qu’en témoignent des expérienceurs.
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10 – Le revécu de la vie
L’une des phases de l’expérience proche de la mort qui nous en apprend le plus sur la réalité de notre esprit est le revécu de toute la vie.
Dans cette situation, l’être découvre que tout ce qu’il a fait a été enregistré et sera jugé par le juge le plus sévère qui soit : son propre esprit supérieur.
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11 – La programmation de la vie
Le mental analytique croit que le monde est abandonné hasard, tandis que la conscience synthétique sait que tout est programmé.
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12 – Des expériences infernales
Le douzième point des réalités de notre esprit est certainement l’un des plus importants et méconnus. Il s’agit de la conséquence d’actes négatifs.
Pour sortir de l’illusion d’impunité, il faut découvrir la réalité de l’enfer, expérimentée par quelques personnes.
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Seuls nos comportements en accord avec la réalité de notre esprit peuvent nous conduire au succès.
Inversement, tous nos comportements contraires sont voués à l’échec
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